25 mai 2018

Sept méthodes pouvant empêcher les abductions



A Knocknagoshel, dans le comté de Kerry, le prêtre de la paroisse, Fr. Kelly, estimant que son église avait besoin d’un lustre, convoqua une assemblée de paroissiens, et leur demanda de se pencher sur la question.

Ils en discutèrent, et désignèrent un des membres, Houlihan, en tant que délégué, pour dire à Kelly que leur décision était défavorable. « Pourquoi donc ? demanda Fr. Kelly. Qu’est-ce qui a motivé votre refus ? » « Nous ne voulons pas d’un lustre pour trois raisons.

La plupart ne sait pas comment ça s’écrit, personne ne sait s’en servir, et ce dont notre église a vraiment besoin est davantage de lumière, » dit Houlihan.



Similitudes avec les enlèvements :


La recherche sur les abductions extra-terrestres fait face à trois problèmes : la plupart ne s’accorde pas quant à sa définition exacte, personne ne sait pourquoi cela arrive, et nous avons besoin de davantage de lumière à ce sujet. Une attitude de déni et donc hostile ne peut que nuire aux différents groupes de recherche.


Certains chercheurs croient que les entités E.T. qui interagissent avec les humains les aident à évoluer tout doucement. Malgré la terreur et la douleur qu’ils provoquent chez les personnes, ils considèrent ces entités comme inoffensives. D’autres chercheurs croient que cette interactivité avec une intelligence étrangère (s) est obligatoirement néfaste.


Toutefois, ces deux groupes, diamétralement opposés, s’accordent pour dire que nous, humains, sommes démunis faces à ces enlèvements, et qu’il est inutile, voire impossible, de résister.


Ann Druffel a co-écrit TUJUNGA CANYON CONTACTS avec Scott Rogo et enquête sur les faits OVNI depuis 1957. Elle a étudié plus de 1500 cas, y compris des atterrissages supposés, des photos, des rencontres rapprochées avec des traces tangibles sur les témoins et sur le terrain, et des enlèvements. Elle adore la randonnée, l’astronomie et est une hypnotiseuse confirmée. Ann est consultante pour la recherche à la Société Mobius à Los Angeles.


Tactiques de défense :


Certaines tactiques mentales pourraient, dès les premières secondes, empêcher un enlèvement, et le faire cesser pour le cas où il serait en train de se produire.

Dans ce domaine, les chercheurs devraient accorder aux faits une valeur purement anecdotique. En dépit de ces fœtus qui disparaissent, qui tendraient à prouver que les aliens se livrent à un programme d’hybridation et de reproduction, il n’y a toujours pas de preuve formelle, malgré les recherches intensives de la part de chercheurs professionnels (scientifiques et médecins).


De telles rencontres se produisent dans un état modifié de conscience, plutôt que dans un état normal. Ces rencontres subjectives paraissent vraies aux témoins, et les marques physiques qui en résultent plaident pour une réalité tangible.

En 1988, après deux décennies passées à me documenter sur les faits et apporter du réconfort aux victimes traumatisées, j’ai compris que les méthodes classiques d’analyse ne menaient nulle part. Les rapports d’enlèvements se multiplièrent à partir de 1975, et ils sont aujourd’hui si nombreux que les équipes qui enquêtent sur les cas d’OVNI sont débordées. Il était absurde de croire que d’amasser autant de témoignages avec toutes ces victimes réclamant une écoute résoudrait le problème. Mais une catégorie de témoins relata avoir réussi à cesser tout rapport avec ces entités inopportunes. Leurs récits étaient tout aussi convaincants et solides que les meilleurs cas d’enlèvements, et même plus.


Ces cas de résistance décrivaient les enlèvements sous un jour nouveau. Ces tactiques de défense concernaient principalement les cas impliquant les « visiteurs en chambre » ou les gris – des créatures dotées d’une grosse tête, de grands yeux, une peau claire et mesurant de 3-1/2 à 5 pieds - 90 cm à 1,50 m (du moins ceux rapportés le plus fréquemment aux Etats-Unis). Sept tactiques ont pu être recensées. Que ce soit au niveau mental et physique, de telles capacités nous sont familières.


La lutte mentale. Elle est plus efficace avant même que l’enlèvement ait lieu. La victime est paralysée alors même qu’elle sent que les entités sont là, mais le silence insolite ne s’est pas encore installé. Cela requiert une volonté sans faille pour tenter de bouger, ne serait-ce qu’un doigt ou un orteil.

Lorsque la victime se meut légèrement, la paralysie cesse, et les entités disparaissent. La résistance mentale est souvent instinctive, mais cela peut s’apprendre. Cela marche aussi bien pour les personnes terrifiées que pour celles naturellement plus courageuses.


C’est cette tactique qu’utilisa Emily Cronin, en 1957, lorsqu’elle perçut une vive lumière et trois entités alors qu’elle et Jan Whitley étaient endormies dans leur voiture, dans une zone montagneuse, sur le chemin de retour des vacances.


Les deux femmes se réveillèrent, paralysées, tout en voyant une lumière vive tout près. Instinctivement, usant de résistance mentale, Emily fut capable, en quelques minutes, de les tirer d’affaire. La lumière vive disparut, la voiture descendit à toute vitesse. Plus tard, une fois leur terreur passée, elles admirent qu’elles s’étaient trouvées face à une autre forme d’intelligence (inconnue), curieuse à propos des humains. L’expérience d’Emily la prépara pour d’autres rencontres.


Au milieu de la nuit, elle fut harcelée par des entités dotées d’une grosse tête, venues dans sa chambre, insistant pour qu’elle les suive – où et pourquoi reste un mystère. Elle était toujours éveillée pendant ces rencontres ; et puisqu’elle refusait de les suivre, elle usait de résistance mentale. Dès qu’elle pouvait bouger un doigt ou un orteil, la paralysie cessait et les créatures disparaissaient. Emily était fermement convaincue qu’elle était une personne aux droits inaliénables.


Une colère légitime. Souvent instinctive, mais cela peut s’apprendre. Cela marche mieux avant que la paralysie s’installe ; la colère ressentie à l’égard de ces êtres peut s’exprimer soit mentalement, soit oralement. Les personnes plutôt téméraires, fermement convaincues de leurs droits, y ont plus souvent recours et cela leur réussit.


En 1987, à Pensacola, Fla., une femme, se réveilla et vit l’un de ces gris typiques descendre d’une colonne de lumière à l’intérieur de sa chambre. Elle bondit hors du lit, alluma une lampe, observa l’entité et vociféra : « Hors d’ici ! » Aussitôt, l’entité remonta par delà le plafond.


Dans les cours d’auto-défense, les gardiens de la paix enseignent aux citoyens, s’ils se trouvent confrontés à un agresseur, à protester clairement et vigoureusement, au lieu de hurler. Formuler de manière catégorique et d’une voix forte : « Va-t-en, fiche-moi la paix, tu n’as aucun droit ! » déstabilise l’agresseur et alerte les proches passants, en plus de le faire fuir.


Ces tactiques signifient aux entités ravisseuses que cette personne ne sera pas une proie facile, de même qu’elles mettent fin à cet état de conscience modifié induit pour s’assurer la coopération des victimes.


Une rage salutaire peut être mise à profit après un enlèvement pour empêcher qu’il se reproduise, et aussi pendant, à condition que le « silence » ne se soit pas encore installé. Cela nécessite une grande force mentale en plus de leur ordonner à haute voix de partir, de façon à s’opposer à leur intrusion. C’est plus efficace quand les victimes d’enlèvements se rendent compte que leurs enfants sont aussi harcelés. Cette rage salutaire, comme la colère légitime, doit être soigneusement canalisée.

Une vie secrète de David Jacob, et autres livres plus récents, continuent d’affirmer que la colère et la rage ne sont d’aucun effet sur ces entités et, si l’on s’en tient aux cas qu’ils citent, c’est vrai. Il y a une explication logique.


Une colère et une rage hystériques sont engendrées par la peur et le désespoir, émotions incompatibles avec l’assurance et la pensée positive. Une colère légitime et une rage salutaire bien canalisées sont positives. Lorsqu’elles sont mises à profit par des personnes sûres d’elles et plutôt courageuses, persuadées que leurs droits sont inaliénables, il semble qu’elles réussissent à faire fuir ces créatures inopportunes.

Des individus créatifs, régulièrement harcelés, se mettent à invectiver ces entités, à la suite de visites inopportunes. La vision de ces personnes, rabrouant ces êtres de vive voix, alors qu’ils ne sont plus là, peut sembler ridicule, mais la tactique s’est révélée payante dans de nombreux cas, empêchant que cela se reproduise, selon toute vraisemblance. Morgana Van Klausen, qui habite à Gabriel Valley, Californie, a utilisé cette tactique de défense, ainsi que d’autres, pour mettre fin aux visites récurrentes de ces entités aux grands yeux noirs et à la peau blanche et rugueuse.




On ignore si cette tactique fournit un bouclier psychique protégeant la maison, ou si les entités sont capables de sentir un rejet depuis une certaine distance. Nous devons en savoir plus sur ces êtres afin de l’expliquer. S’ils viennent d’une autre dimension, tout comme des chercheurs tel Jacques Vallée, Gordon Creighton et d’autres le soupçonnent, la dimension spatio-temporelle dans laquelle évoluent les victimes peut être renforcée d’une certaine façon, de sorte que ces créatures ne peuvent franchir la frontière qui les sépare d’elles.


Les aliens viennent-ils d’une autre dimension ?


L’existence d’autres dimensions a été prouvée mathématiquement, mais les preuves empiriques font défaut. Tant que la science n’aura pas prouvé que ces êtres ainsi que d’autres habitants vivant dans d’autres dimensions sont une réalité, nous ne pourrons pas démontrer pourquoi la colère légitime et autres tactiques de défense sont efficaces.

La violence physique. C’est une autre tactique fréquemment utilisée. Il faut avoir une forte personnalité, et beaucoup d’assurance, comme Patsy, qui fut interrogée par Don Worley, un vétéran de la recherche sur les OVNI. Patsy était constamment harcelée par les fameux gris et en avait assez. Une nuit, trois entités sont apparues dans sa chambre alors qu’elle ne dormait pas. Elle sauta du lit et saisit celle du milieu par le cou. A sa grande surprise, son cou craqua et sa tête retomba sur son dos. Patsy regretta de l’avoir blessé, mais elle leur dit : « Vous allez me ficher la paix ! » Les deux autres tirèrent le corps de leur compagnon vers eux et disparurent.

Évocation de saints. C’est efficace, que les victimes soient tout à fait éveillées ou si elles sont déjà paralysées et dans un état de conscience modifiée. La plupart des lecteurs de FATE ont une croyance religieuse – chrétienne, judaïque, musulmane, etc. – mais nous la présentons ici comme une méthode pragmatique de résistance et non comme un support religieux. Point n’est besoin d’être téméraire ou très sûr de soi pour l’utiliser avec succès.


Ils doivent avoir une grande foi en un royaume céleste qui soit la demeure des saints protecteurs. Il y a toute une variété d’êtres spirituels que nous pouvons évoquer, que ce soit le Christ, les anges gardiens, ou les guides spirituels.


Dans les années 70 et 80, Melissa MacLeod, une habitante de Californie du sud, subissait continuellement de terribles intrusions pendant lesquelles des êtres invisibles et d’un poids conséquent – évalué de 50 à 80 livres (22,70 kg à 36,32 kg) – secouaient son lit ou la malmenaient jusqu’à ce qu’elle se réveille, paralysée.

Au début, elle utilisa la force mentale, et réussit à bouger partiellement son corps, à la suite de quoi la paralysie et les présences disparurent. Melissa ignore si elle a vraiment été enlevée, mais dans le passé, il y a deux temps manquants ou périodes d’amnésie remontant aux années 50, directement reliés aux phénomènes de type OVNI. Habituellement, lors des paralysies, il y a des présences invisibles, mais un matin, au milieu des années 80, elle se réveilla, paralysée, et vit une silhouette noire, encapuchonnée debout à côté du lit. Absolument terrifiée, elle s’en remit mentalement à Dieu et la créature disparut.


Ces intrusions se répétant, elle invoqua directement l’Archange Michel, pour lequel elle ressentait une affinité et une affection particulières. Dans la théologie chrétienne, on le considère comme le protecteur contre les mauvais esprits. Pour beaucoup de gens, ces derniers se rapportent aux démons et au diable, mais Melissa n’a pas l’impression que ces entités importunes entrent dans cette catégorie.


Elle déduisit que St-Michel pouvait être également efficace contre ces êtres inconnus qui la tourmentaient, et remarqua que ses invocations mentales mettaient fin à sa paralysie en quelques secondes. Elle a découvert une méthode fiable pour contrer ces intrusions et ne les craint plus, même si elles continuent de se produire de temps à autre.


La confiance de Melissa dans la protection de Michel et l’assurance d’Emily, Patsy et Morgana en tant que personnes pleines et entières (cf. estime de soi), sont sensiblement équivalentes, quoique leur tactique n’ait rien à voir avec l’orthodoxie religieuse.


Si les victimes de rencontres rapprochées croient qu’elles ont des droits inaliénables et/ou la capacité de se protéger, elles sont protégées. De même, si des personnes comme Melissa croient qu’elles peuvent bénéficier d’une protection d’une autre source, elles sont protégées. C’est l’assurance de se sentir protégé, ou qu’une tactique marchera, qui semble être à l’origine du succès.


Une lumière blanche. Une fois détendu, on visualise une lumière blanche jaillissant du haut du crane – le chakra couronne – emplissant tout le corps et l’auréolant tel un bouclier protecteur. La source lumineuse peut être Dieu ou des Puissances cosmiques indéfinies. Les deux sont pareillement efficaces.


La lumière blanche est utilisée pendant la méditation et l’hypnose par le corps médical ouvert à la métaphysique car elle est censée éloigner les influences malsaines, qui peuvent profiter de l’état de conscience modifiée d’une personne pour perturber son psychisme. Etant donné que les abductions surviennent dans un tel état de conscience, et que beaucoup de victimes et chercheurs considèrent les aliens comme des influences malsaines, l’efficacité de la lumière blanche en tant que tactique de résistance va de soi.

Le son interne peut être utile à un stade avancé de l’enlèvement. Cette tactique a permis à Lori d’interrompre les opérations alors qu’elle était toujours dans le vaisseau.



Lori l’utilise naturellement depuis l’enfance, mais cela se rapporte à certaines doctrines yogiques et peut s’apprendre. Ce son interne, d’après Lori, ressemble à une note de musique de faible intensité que l’on entend dans la tête et les épaules. Elle l’intensifie à dessein en vue de se détendre, ou dans les moments stressants.


Lorsque Lori s’en est servie à l’intérieur du vaisseau en présence de ses ravisseurs aliens (figure C), ils ont eu l’air très étonnés et la ramenèrent immédiatement dans sa chambre. Lori habite aujourd’hui à Tujunga, Calif., mais les entités n’ont pas renoncé à elle ; un geignement haut perché la prévient de leur venue. Elle a appris à le reconnaître aussitôt qu’elle l’entend, et contre-attaque avec sa propre musique. Non seulement elle n’est pas paralysée, mais on la laisse tranquille.




A propos de ces êtres qui l’ont enlevée en 1975, Lori estime que ces créatures appartiennent à un autre monde ; elle ne leur souhaite aucun mal. Quand ces entités l’ont pressée de les suivre, elle a senti, d’instinct, que ce serait à des fins de reproduction et elle n’avait pas envie de partir avec elles. Malgré leurs nombreuses tentatives, elle ne croit pas que le moment est venu. « Un jour, peut-être », dit-elle, mais à sa convenance. Elle est intimement persuadée qu’elle seule décide de son destin.


Le soutien d’une famille unie favorise la résistance face à ces entités importunes. Il y a souvent un blocage qui empêche tout naturellement de se confier à ses proches, par crainte du ridicule. Pour les victimes qui ont besoin d’apprendre à faire face, cela aide beaucoup de pouvoir compter sur la famille.


Une correspondante de Floride, que j’appellerai Jean, était très souvent tourmentée, pendant son enfance, par une silhouette effrayante au milieu de la nuit. L’entité, selon ses termes, était « presque comme une force électronique », essayant de la tirer hors de son corps.


Elle se confia à sa grand-mère, laquelle lui apprit qu’elle aussi avait eu le même problème et qu’elle s’en était débarrassée grâce à la prière. La vieille dame avait même donné un nom à cette créature – medved, ou « créature qui vient la nuit ».

Comme le lui avait suggéré sa grand-mère, Jean s’entoura d’images du Sacré Coeur, relevant de la doctrine chrétienne catholique, et lors des intrusions qui ont suivi, elle déclara à cette créature que c’était une protection. Dominant son effroi, elle lui posa quelques questions : « Qui es-tu ? Que veux-tu ? »


Elle n’obtint jamais de réponses. A la place, cet être s’approchait tout près de son visage, et alors elle sautait du lit et courait hors de la chambre pour lui échapper. Les forces spirituelles dont elle bénéficiait et le soutien de son aïeule n’ont pas empêché cette chose de revenir, mais au moins elle ne pouvait lui faire du mal.

Le plut tôt est le mieux :


Si la personne peut sentir sa présence alors qu’elle n’est pas encore là, elle y résiste bien mieux. Certaines tactiques peuvent interrompre un enlèvement en cours. La résistance dès les tous premiers contacts est bien plus efficace, donnant du poids à l’hypothèse que ces êtres non identifiés viennent d’une autre dimension plutôt que venant d’une autre planète, avec un corps physique.


Si ces êtres d’une autre dimension franchissent notre espace-temps, notre environnement physique subit forcément une modification aisément perceptible. Cette perception établit un pont entre notre monde physique et d’autres réalités. Même si, éventuellement, les enlèvements relèvent d’un phénomène psychique et insolite, ainsi que le soupçonnent certains chercheurs, cela n’ôte rien à l’efficacité des tactiques de défense. Les personnes persuadées qu’elles peuvent empêcher ces enlèvements en sont toujours capables, même si ce phénomène prend sa source dans l’inconscient.


La résistance est sujette à controverse, et la littérature ufologique se fait l’écho de débats passionnés. Certains chercheurs croient qu’on donne l’illusion aux victimes de croire qu’elles peuvent se défendre. D’autres sont d’avis que d’encourager les personnes à tenter de résister est en réalité immoral, parce que cela donnerait à celles qui ne se défendent pas un sentiment de culpabilité.


Certaines victimes, pour des raisons qui leur sont propres, ne souhaitent pas mettre fin à cette relation, et ce n’est pas le but de cet article de les persuader du contraire. Une résistance efficace profite seulement aux personnes qui se sentent dépossédées de leurs droits, et qui ne souhaitent pas aller plus loin. Celles qui croient, pour des raisons diverses, ne pas devoir résister sont tout à fait dans leur droit. Toutefois, le contraire est tout aussi vrai ; si elles veulent se défendre, elles en ont aussi le droit.


Je continue d’affirmer que les êtres humains ont leur intégrité, et le droit de s’opposer à des intrusions non désirées. Si l’on pouvait démontrer que les entités extra-terrestres nous aidaient dans notre évolution, alors il ne serait pas dans notre intérêt de les chasser.


Si l’on pouvait démontrer que ces ravisseurs sont d’origine E.T., ce serait sûrement bien plus difficile de leur résister. Mais l’on ne peut rien prouver. Les grands écrits, philosophiques ou religieux n’y font aucune allusion, et la science ne peut s’appuyer sur rien de concret qui pourrait nous enseigner que des créatures venant d’autres mondes sont nécessaires à notre évolution.


Des droits inaliénables :


Les humains sont loin d’être parfaits, mais beaucoup de grandes civilisations reconnaissent que chaque individu a des droits inaliénables. La plupart des gens sont capables de compassion et autres qualités louables.


Les entités coupables d’enlèvements traitent les humains comme s’ils n’avaient aucun droit, et ne manifestent aucune émotion ou pitié. Il est fort possible que les humains soient plus évolués que ces créatures dans certains domaines. Sans doute ne sont-elles pas inférieures ni supérieures mais juste différentes.


Les enlèvements à l’extérieur ne représentent qu’une petite partie d’un tout. Les rapts à l’intérieur n’ont rien à voir. La présence est perceptible avant même que le vaisseau soit visible, et la personne voit d’ordinaire seulement l’intérieur de l’engin ; le vaisseau et les pièces ne sont probablement que des images mentales, projetées dans l’esprit des victimes.

C’est ce que suggère l’abondance de détails fournis par de nombreuses victimes. Aussi bien, l’on a vu ces entités apparaître comme par magie, ou à partir de boules de lumières ou bien adopter des formes variées.


Problème antique sous une apparence moderne ?


Ces êtres protéiformes évoquent en nous d’autres entités, nombreuses et variées, responsables d’enlèvements et se mêlant de sexualité avec les humains depuis des millénaires, tels que les sylphes, incubes, djinns, et les élémentaux. Aujourd’hui comme hier, on considère que ces êtres ne vivent pas dans notre espace-temps, soutenant ainsi l’hypothèse qu’ils sont issus d’une autre dimension.


Peut-être que ces êtres, qui interfèrent parmi nous, appartiennent à d’autres mondes, parallèles au nôtre dès les tous premiers temps. De nombreux chercheurs soupçonnent que sous l’appellation d’OVNI, se cache un problème aussi vieux que l’humanité, assimilé aujourd’hui à l’espace interplanétaire. Etant donné que la plupart des victimes sont dans un état second pendant le processus d’enlèvement, elles pourraient s’imaginer être dans une autre dimension.


Cela expliquerait beaucoup de choses – pourquoi le conjoint ou partenaire dort paisiblement pendant l’enlèvement et pourquoi, quand il se réveille, il ne voit pas les entités, qui disparaissent immédiatement. Cela pourrait aussi expliquer cette atmosphère étrange et ouatée dans laquelle se produisent de nombreux rapts, et souvent en plein cœur d’un environnement citadin sans que l’entourage ne remarque quoique ce soit, et pourquoi beaucoup de victimes se sentent hors de leur corps.


Il est pratiquement impossible de donner un sens à toutes ces données infiniment complexes. Nous n’avons aucune méthode fiable pour distinguer, parmi cette profusion de descriptions, les faits tangibles de ceux qui n’existent que dans l’esprit des victimes. Cela concerne surtout les détails qui remontent à la faveur d’une séance d’hypnose. De la sorte, on pourrait savoir si les enlevés qui souhaitent se défendre y réussissent vraiment.


Nécessité d’études plus poussées :


La résistance n’implique pas que nous devrions nous débarrasser de ces entités ravisseuses une bonne fois pour toutes. Les « abductions » sont un sujet d’étude très intéressant et enrichissant. Si les humains peuvent, par ce biais, maîtriser la situation, ce pourrait être un premier pas pour cerner la véritable nature de ces visiteurs et éventuellement établir une relation honnête. Si ces inconnus réclament quelque chose de notre part, ils devraient nous préciser ce dont ils ont besoin, nous demander notre coopération et nous prouver qu’ils sont sincères. Ce pourrait être un processus de longue haleine.


La recherche doit se poursuivre. Je suis en train de réunir une documentation de plus de 200 cas à des fins d’analyse statistique et d’études scientifiques, de laquelle se dégage un profil psychologique établi à partir de certains traits de caractère des personnes qui réussissent à éviter cette relation traumatisante. Ces pionniers pourraient être les premiers à mettre en échec les processus mis en œuvre dans l’altération de la conscience et ces pratiques trompeuses utilisées par ces entités, ce qui pourrait nous aider à percer leur vraie nature, et leurs mobiles.


N.B. : Un pied = 30,48 cm - Une livre = 454 g.



Parvati 
Source 

La paralysie provient certainement du fait que notre esprit est "aspiré" dans un autre espace-temps. Le corps reste donc inerte dans le lit, par rupture du contrôle de l'esprit sur le corps au moment de la déconnexion d'avec le corps.
Les abductés pensent avoir été enlevés avec leur corps dans le mesure où ils conservent la pleine conscience de ce corps, comme dans les rêves ou quand un de nos membre est coupé.
Le plaisir et la douleur sont probablement des leurres à ce stade. Nous pouvons ressentir de la souffrance même dans un rêve, alors que notre corps est parfaitement au repos dans notre lit.
Les stigmates corporels sont probablement ramenés par l'esprit, qui considère l'abduction comme réelle et réimprime les atteintes perçues comme physiques dans les cellules.

Pour éviter, limiter ou faire avorter les abductions, il est important d'avoir une culture sérieuse sur ces phénomènes, afin que notre mental soit conditionné à se réveiller le plus rapidement possible en présence du danger, pendant le rêve, où un scénario se met en place et prévient de ce qui se trame autour de vous.

Le fait de pousser mentalement des "cris guerriers" très puissants, avec la ferme intention de sortir du jeu, fonctionne effectivement.

Ceux qui voient dans les abductions des expériences, certes douloureuses, mais aussi positives, ne se réveilleront pas.

Nous sommes très limités par notre culture, nos capacités mentales, pour avoir la présomption de tout expliquer et de juger de l'existence ou non de tels phénomènes. Il y a beaucoup trop de témoignages sérieux et probablement beaucoup de gens ont vécus de telles aventures sans oser en témoigner, vivant avec une épée de Damoclès au dessus de la tête.

La science de notre époque est devenue défaillante par excès de politisation et de croyances obligées, sésame incontournable pour d'obtenir des subventions de recherche.
On ne mord pas la main qui vous nourrit...

Soyez les chercheurs de vos vies, ne vous limitez à rien...

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