16 novembre 2015

L'Airbus qui s'est écrasé dans le Sinaï, victime d'une arme à impulsion ?


Ceux qui observent attentivement les stratégies de politique globale ont peut-être repéré que lorsque survient des « attaques terroristes » les autorités occidentales ont sous le coude un petit narratif préparé à l'avance qui explique ce qui s'est passé et avec quel groupe de terroristes pour ensuite le partager à la presse et au public. À de très rares occasions cependant, de tels événements sont traités de façon anormalement silencieuse par l'Occident, du moins durant les premiers jours si stratégiques, car à ce moment-là l'esprit des gens est aux « aguets » d'explications...

Ce fut le cas pour l'avion russe abattu au-dessus du Mont Sinaï, lorsque les gouvernements occidentaux furent silencieux au point de ne rien dire d'autre que la situation nécessitât l'ouverture d'une enquête. Ce fut, bien évidemment, choquant pour beaucoup de gens. Après tout, il faut bien que les autorités fassent preuve de fermeté et nous donnent notre dose manichéenne d'explication dont nous avons tant besoin pour continuer à dormir.

Tandis que le gouvernement russe appelait à la vigilance auprès de tous pour éviter les conclusions hâtives avant qu'une enquête ne soit menée, après leur petit silence de quelques jours, les pontes des gouvernements britanniques et étasuniens ne purent s'empêcher de brandir une alerte de menace terroriste à la face de la conscience des gens.

Les services secrets britanniques ont récemment mené une campagne afin de convaincre les gens qu'une bombe, évidemment posée par ISIS, ait descendu l'avion russe. La raison de telles accusations est à trouver dans les propos tenus par des membres anonymes des services secrets britanniques qui ont juste dit « qu'il s'agissait probablement d'une bombe ». Pourtant sommés d'apporter des preuves tangibles, ils jouent la carte des « voix » qui auraient été « entendues » dans l'avion, après l'écrasement, à un endroit où bien évidemment des « soldats militant pour le groupe ISIS » célébraient l'événement. Dans le jargon des services secrets, « entendre des voix » ressemble plus à un garçon de service au quartier général du M16 qui découvre sur Facebook un commentaire écrit par un terroriste présumé.

Le plus proche que l'on puisse aller pour obtenir des preuves non basé sur les médias sociaux de la détonation d'une bombe dans l'avion nous ramène aux déclarations de différentes sources anonymes, certaines de ces sources étant supposément « proches de l'enquête ». Une de ces fameuses sources a dit à l'AFP « qu'absolument routinier, le vol se passait normalement quand tout à coup, plus rien. » Cette personne qualifia l'accident de disparition « violente et soudaine ».

Au même moment, une source ayant eu accès aux boîtes noires de l'appareil révéla à la chaîne de télévision France 2 qu'on pouvait entendre un bruit ressemblant à une explosion sur l'enregistrement. Cette information fit sortir du bois d'autres « sources proches de l'enquête » qui allèrent dire au magazine Le Point que le vol Metrojet fut « définitivement abattu par un engin explosif ». Ceci était supposément basé sur l'examen des boîtes noires mené au Caire par des enquêteurs russes, français, allemands et irlandais.

Cependant, ces allégations dans Le Point survinrent alors qu'une autre source proche de l'enquête révélait que les boîtes noires ne contenaient presque aucune information permettant de déterminer la cause du désastre.

Cet initié révéla que l'enregistreur des données de vol s'arrêta subitement de fonctionner environ 20 minutes après le décollage, sans laisser le moindre indice sur la nature de la catastrophe qui a touché l'avion.

Or l'appareil servant à enregistrer les conversations, dont celles des pilotes pouvant s'avérer très importantes, est « très endommagé » et fut même qualifié de « possiblement inutile », d'après le journal Kommersant. Encore aujourd'hui, une autre source révéla au site d'actualités Al-Ahram que « l'enquête n'a pas validé la thèse de la présence d'un engin explosif à bord de l'avion ».

Nous ne rencontrons pour « preuve » de ce qui est arrivé à l'avion russe qu'une succession d'allégations contradictoires. Et pourtant, insidieusement, cette information ainsi que les déclarations d'autorités qui modèlent ainsi leurs raisonnements, a instillé chez les gens la certitude qu'une bombe a bien explosé dans la soute de l'avion. Il y a anguille sous roche.

Pour la Russie avec Haine

Distinguer l'écrasement de l'avion russe de la situation géopolitique actuelle ne représente pas une tâche aisée, car la Russie est à deux doigts de bouter l'empire étasunien hors du Moyen-Orient ce qui met sérieusement en péril l'hégémonie étasunienne et sa permission divine de massacrer des millions d'innocents au nom de la liberté et de la démocratie.

Alors que ceux qui supportent l'empire étasunien semblent avoir été reconnus par la Russie de Poutine, si l'on utilise des termes militaires classiques, comme menant une guerre de 3e génération, les guerres de 4e génération sont le standard depuis quelques dizaines d'années. Mais que sont les guerres de 4e génération ?

Les guerres de 4e génération se définissent dans des conflits trouvant les éléments suivants :

► Sont complexes et se déroulent sur le long terme
► Terrorisme (tactique)
► Une base étrangère ou transnationale — très décentralisée
► Une attaque directe au niveau de la culture, avec des actes à caractère génocidaire envers la population civile
► Une guerre psychologique hautement sophistiquée, passant notamment par des manipulations dans les médias
► Tous les moyens de pression possibles sont déployés — politiques, économiques, sociaux et militaires
► Surviens lors de conflit de faible intensité, avec des protagonistes issus de n'importe quel réseau.
► Les personnes n'étant pas en état de combattre représentent un dilemme stratégique
► Actes de rébellion et utilisation de tactiques de guérilla

Cette liste décrit parfaitement les méthodes qu'a employées l'empire étasunien contre la Russie durant ces dernières années et laisse presque apparaître une dernière entrée à la liste, en tant que « stratégie » de descendre un avion de ligne russe plein de civils russes pour « envoyer un message » à Poutine exactement un mois après le début des frappes russes en Syrie.

Or, j'avais déjà remarqué qu'il n'y avait aucune preuve solide d'aucune source officielle expliquant la cause de l'écrasement, avec autre chose qu'une « explosion », et je suis un poil perplexe qu'une telle information nous arrive un jour, aussi en sommes-nous réduits à analyser les indices disponibles nous-mêmes.

Descente improbable et autres anomalies dans un écrasement

Dans un article précédent où je spéculais sur l'idée que l'avion ait été descendu par une météorite ou un événement extraordinaire lié au temps, j'ai observé que sur le site Flightadar24.com les données disponibles montraient que l'avion poursuivait une trajectoire ascendante de 10 km/h à 30 750 pieds (9373 m) d'altitude quand brusquement et en moins d'une seconde (note : en moins d'une seconde, donc presque instantanément) il adopta une trajectoire descendante à 65 km/h. Trois secondes plus tard, il continuait sa chute à 153 km/h. Parler d'anomalie dans ce cas donne l'impression de sous-estimer la situation. À moins que les données soient erronées (et Flightradar n'a fait aucune mention d'erreurs de données) la seule façon pour un avion de faire cela serait grâce à un acte intentionnel des pilotes.

L'une des passagères de l'avion, la petite Darina Gromova (un nom signifiant « don de la foudre ») qui était âgée de dix mois fut retrouvée 34 km plus loin du lieu où l'avion s'est écrasé. Comment diantre est-ce possible ?

D'autres écrits initiaux à ce sujet rapportent que les employés de secours égyptiens arrivés rapidement sur les lieux ont dit qu'ils ont entendu des voix de passagers. Des propos qui furent réfutés plus tard par des rapports faisant état de la mort de tous les passagers. Un docteur égyptien qui a examiné les corps a dit au Sputnik qu'il y avait un grand nombre de morceaux de corps épars. Certains spéculèrent là-dessus pour établir la preuve d'une explosion à bord, mais l'agence de presse TASS cita les déclarations des experts russes et égyptiens qui ne parvinrent pas à déceler de traces de traumatisme lié à une explosion sur les corps des victimes lors de l'autopsie préliminaire des corps. Des corps démembrés, mais sans les stigmates d'une explosion ? Les corps « volent-ils en morceaux » tous seuls ?

Les premiers rapports font mention du pilote — alors qu'il volait à 30 000 pieds (9145 m) d'altitude — avertissant l'ATC égyptienne d'un « mauvais fonctionnement des mécanismes sans-fil à onde radio » et demandant un atterrissage d'urgence à « l'aéroport le plus proche ». Cela fut plus tard remplacé par « absence de communication de la part des pilotes » avant « la descente brusque et fatale » de l'avion.

Les images de l'écrasement présentent elles-mêmes beaucoup d'anomalies. La partie principale avant de l'avion, depuis le cockpit jusqu'aux ailes (inclues), semble avoir atterri intact et « a brûlé » sur place. Par contre, ce fut un feu très étrange qui a consumé le fuselage, avec aucun indice d'une quelconque fumée ou de mousse à extinction ou une quelconque trace d'eau ou quoi que ce soit qui aurait pu être utilisé pour éteindre des flammes, avec une absence de roussi autour de cette partie de l'avion. Une personne assistant à ce spectacle pourrait plutôt penser que l'avion avait été « électriquement grillé » plutôt incendié.

 
 

Une des ailes contenant des milliers de gallons de carburant. Pourquoi n’y a-t-il pas de fumée, pas de brûlure discernable, pas de mousse pulvérisée par des tuyaux de pompiers ?
 

Les fibres naturelles et synthétiques semblent intactes.
 

Ces hommes se tiennent à l’endroit où il devrait y avoir une épave fumante.
 

???C'est le « Mossad » qui a fait le coup

Ce jour-là, Israël hébergeait les exercices militaires internationaux « les plus grands » de son histoire en compagnie de l'armée de l'air des États-Unis, de la Grèce et de la Pologne dans le désert d'Arava au sud d'Israël, plus ou moins parallèle à la zone de l'écrasement. L'armée, pratiquement depuis son origine, utilise les exercices militaires comme couverture pour des activités qui doivent rester hors de portée des yeux du public.

Les Forces de Défense Israélienne ont depuis confirmé que leurs troupes de surveillance se trouvaient dans la région au moment de l'écrasement. Voici des propos officiels israéliens : « Depuis ce matin l'IDF prête main-forte avec de la reconnaissance aérienne aux efforts déployés pour localiser l'avion russe qui a perdu le contact alors qu'il survolait la péninsule du mont Sinaï. »

Curieusement, le jour même de l'écrasement, l'un des plus gros cyclones qu'ait jamais connus la mer d'Oman, de surcroît le premier à avoir accosté sur la péninsule Arabique, se dirigea droit vers le Yémen.

Ces deux événements — des exercices militaires et un ouragan — sont bien plus qu'une petite réminiscence du scénario qui s'est déroulé le 11 septembre 2001, avec l'US Air Force en plein exercice militaire et l'ouragan Erin de catégorie 3 se dirigeant vers la côte nord-ouest des États-Unis, en direction de New York, avant qu'il dévie sa trajectoire en mer ce matin-là.

En mai cette année, CNN a rapporté que l'US Air Force a confirmé l'existence d'armes à impulsion électromagnétique en état de marche.

En juillet de la même année, Reuters a cité des représentants du Pentagone qui affirmaient que « des armes à énergie dirigée » se trouvaient à « différents stades d'essai et de développement. »
Jeudi dernier, des représentants des corps d'élite de l'armée accompagnés d'avocats étasuniens ont dit lors d'un meeting industriel que l'armée étasunienne va se montrer plus active dans l'emploi de lasers et d'autres armes à micro-ondes et à énergie pulsée.

Ces représentants ont décrit des armes à différents stades d'essai et de développement par la Navy étasunienne, le Corps des Marines, l'Air Force et l'Armée, mais nécessitant davantage d'efforts afin de pouvoir assurer une efficacité tactique réelle et d'assurer un financement suffisant.

Lors d'une conférence organisée par Boo Allen Hamilton et le Centre d'évaluation stratégique et budgétaire à Washington, un Commandant, le Lieutenant-Général William Etter, division continentale étasunienne de la défense aérospatiale nord, a dit que « l'utilisation d'armes à impulsion esquisse l'aube d'une toute nouvelle ère comme moyen de défense ».

Le concept d'énergie dirigée renvoie aux armes capables d'émettre une énergie concentrée prenant la forme de lasers, micro-ondes, radiations électro-magnétiques, ondes radio, sons ou faisceaux de particules. En 1997, on savait déjà, grâce au Bulletin Professionnel des Services Secrets de l'Armée, que : 
 
Les concepteurs d'armes spécialisés dans la physique des hautes fréquences n'ont désormais plus besoin d'aller dans l'espace pour générer des impulsions électromagnétiques. L'une des approches consiste à récupérer la force émise par une explosion conventionnelle. Les autres variantes fonctionnent en manipulant un radar, qui fait rebondir des pulsations d'énergie sur des avions en plein vol, des véhicules à terre ou d'autres objets.

Augmentez la puissance et vous avez une arme à impulsion EM. Cette science a déclenché une nouvelle course à l'armement. Logées dans des missiles de croisière ou cachées dans un van au bord de la route, ces armes EM non nucléaires sont capables de dévaster des installations électroniques à l'échelle d'une ville entière ou d'un seul bâtiment.

C'est un rêve qui devient réalité pour tous les terroristes. De larges quantités d'énergie électromagnétique libérées par un éclair, ou de hauts débits d'énergie électromagnétique générés par des engins construits par l'homme sont capables d'endommager des objets tels que des arbres, des bâtiments et même des avions, soit par des effets de surchauffe soit par des « effets dévastateurs sur le large champ magnétique généré par le courant. Une conséquence indirecte est la présence d'incendies d'origine électrique à cause de la surchauffe.

Canneto, Sicile, en Italie, fut pris pour cible par une « arme à impulsion électromagnétique »

Revenons en 2004, dans le village de Canneto, en Italie, qui connut un étrange épisode de 3 semaines « d'incendies d'origine électrique » survenant dans les canalisations, machines à laver, fours et meubles, sans aucune raison. Même lorsque le courant fut coupé pour tout le village, les incendies continuèrent d'éclater. Les clés USB furent anéanties, les compas firent faux-bond, les portes automatiques devinrent capricieuses, et un conducteur vit la fenêtre de sa voiture voler en éclat par, selon ce qu'il a décrit, un « outil de forage invisible ». On aperçut également des ovnis dans la région, rapporta le quotidien Corriere della Sera. L'un des « Ovnis » prit en chasse un hélicoptère des forces de la protection civile, le forçant à atterrir après une avarie des pales du rotor. Au sol, on découvrit que les 3 pales avaient été endommagées par un objet inconnu qui avait « changé la polarité électrique de l'intérieur des pales ».


Une photo de l’Ovni  » poursuivant l’hélicoptère de la protection civile
 

L’impact constaté sur l’une des pales.Ces curieux feux s'attaquèrent aussi arbitrairement à une variété spécifique de plantes - « Ampelodesmos mauritanicus » — ignorant toutes les autres variétés. Les racines profondément enfouies de centaines de plants poussant dans la région de Canneto furent carbonisées. On exclut la possibilité d'une intervention humaine.

L’un des nombreux plants «  d’Ampelodesmos mauritanicus  » caramélisés par «  l’énergie électromagnétique inconnue  » qui sévit dans le village de Canneto en 2004.

En 2007, on pensait que la cause du phénomène était des émissions électromagnétiques intermittentes, quand un document confidentiel couvrant les événements fut remis à la Protection Civile et au bureau du Premier Ministre italien avançant l'hypothèse que des essais militaires secrets étaient à blâmer.

On semble bien loin de connaître réellement le monde dans lequel on vit. Il semble également dirigé par des individus qui ont un agenda ainsi que les moyens de leurs ambitions, incompréhensibles pour la plupart des gens, et encore moins acceptables dans les faits. Les individus en question semblent satisfaits dans un tel environnement. Par ailleurs, le mot « Mossad », employé dans cet article, n'est pas à rallier au gouvernement manifeste israélien, mais plutôt à quelque chose de bien plus sinistre, si vous êtes capables d'aller jusque là.

Un simulateur d’ondes électromagnétiques au-dessus d’un avion de ligne.

Joe Quinn
Source

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